-Année Immigrante en Nouvelle-Zélande : Les Plus Grands Combats et l’Impuissance Révélés d’une Fille des Années 90

Ils vantent les merveilles de l'immigration, mais à part les très riches, qui n’a pas été confronté aux réalités cruelles de recommencer une vie dans un pays étranger ? La difficulté de trouver un emploi, la diminution des économies, et la solitude – chacun de ces défis peut vous faire sentir complètement coincé.

Tout d'abord, la frustration de la recherche d'emploi. Avant mon arrivée, je pensais que mon expérience en pharmacie serait très recherchée en Nouvelle-Zélande. Cependant, après être arrivée, j'ai découvert que les systèmes pharmaceutiques étaient très différents. Sans suivre les bonnes procédures, il était presque impossible pour moi d'obtenir un poste professionnel. Leur raisonnement était valable ; je n'avais pas fréquenté une université locale et manquais d'expérience professionnelle locale, ce qui rendait difficile l'adaptation rapide.

Deuxièmement, le tourment intérieur de la confusion. Avant de partir, quelqu’un m’avait dit : « En Nouvelle-Zélande, si tu te baisses assez bas, tu ramasseras forcément de l’argent. » Avec peu d’informations, je me sentais prête à affronter les défis à venir. Je ne m’attendais pas à devenir riche, mais j’étais pleine d’espoir pour un nouveau départ.

Pourtant, après être arrivée, j’ai réalisé que se baisser signifiait vraiment très, très bas. Ici, certains emplois manuels paient plus que certains postes de bureau. Mon premier emploi était dans l’industrie de la restauration. J’étais venue à l’étranger pour poursuivre une vie plus significative, mais quitter un emploi stable ne semblait pas améliorer ma situation. C’est un euphémisme de dire que j’étais confuse.

Enfin, et surtout, le chagrin de la nostalgie. Le désir de la maison et de la famille est une émotion silencieuse et partagée par ceux qui travaillent, étudient ou immigrent à l'étranger. Pendant la pandémie, j’étais profondément préoccupée par mes parents âgés et je ne pouvais pas rentrer chez moi. Le décalage horaire de quatre heures rendait chaque réponse retardée exaspérante. Ce sentiment est quelque chose que seul ceux qui l’ont vécu peuvent véritablement comprendre.

Un jour, quelqu’un m’a demandé pourquoi je n’avais pas emmené mes parents avec moi. Cela aurait été le scénario idéal pour les immigrants, mais c’est presque impossible. La génération précédente est enracinée dans leur patrie, et s’adapter à un nouveau pays n’est pas facile pour eux. Nous ne pouvons que nous voir plus souvent et rester en contact régulier. Curieusement, après l’immigration, je me suis sentie plus proche de mes parents. Ne pas pouvoir les voir m’a fait les apprécier encore plus, et tout ce que j’avais pris pour acquis est devenu plus précieux.

Dans le voyage de l’avancement, il y a toujours des compromis ; les gains viennent avec des pertes. L’effort d’immigrer en valait-il la peine ? Le temps a montré que oui. Maintenant, je peux dire avec confiance : cela en valait la peine ! Le travail pendant cette période de confusion m’a permis de faire des amis, de découvrir de nouvelles passions et d’apprendre des compétences précieuses que j’ai appliquées à mon entrepreneuriat.

Il m’a aidée à traverser les jours les plus difficiles de l’immigration. Un sentiment de satisfaction et de paix est venu après tout le calme retrouvé. Enfin, j’ai creusé comme une hérissonne et grandi comme une graine, prospérant dans mon nouvel environnement.

L’immigration est un voyage qui commence par la reconnaissance des défis avant de récolter les bénéfices. Bien que vous puissiez être rempli de rêves et d’aspirations, il est tout aussi important de vous préparer aux difficultés potentielles. Rassurez-vous, chaque jour apportera de nouvelles opportunités et améliorations. Si vous avez des questions ou des préoccupations sur l’immigration, je suis là pour vous aider. N’hésitez pas à me contacter, et je ferai de mon mieux pour vous aider.